
Alu Rennais

3ruche(s)
80personnes sensibilisées
1500m2 de surface en gestion écologique
La floraison star des mois de février et mars est celle du saule marsault, dont le pollen est excellent et surtout abondant.
Cet arbre à croissance rapide se retrouve couramment à l’état sauvage dans toute la France. Il se différencie des autres espèces de saules par ses feuilles plus larges et son écorce, d’abord gris-verte, qui devient grise et se crevasse en formant de petits losanges avec le temps.
Le saule marsault est un arbre dit dioïque, c’est-à-dire qu’il porte soit des fleurs mâles, soit des fleurs femelles (comme le kiwi 🥝 et le houblon).
Les fleurs mâles des arbres mâles offrent donc du pollen aux abeilles, tandis que les arbres femelles, quant à eux, produisent du nectar.
Il est donc une source de vie importante pour les abeilles en ce début d’année !
Aux premiers beaux jours, vous verrez quelques abeilles faire leurs emplettes de pollen, qu’elles façonnent en pelotes autour de leurs pattes arrière.
Le saviez-vous ? Son écorce contient de la salicine, une substance qui a inspiré la création de l’aspirine ! 💊🌳
visite semaine 02
Pour ce premier passage de l’année 2025, et en cette période de faible activité dans les ruches, nous effectuons un traitement à l’acide oxalique sur vos colonies.
Ce traitement, couramment utilisé en apiculture biologique, permet d’éliminer les varroas (acariens, également appelés « poux de l’abeille ») présents dans les ruches.
Nous l’appliquons en hiver, lorsque la reine cesse de pondre, afin d’optimiser son efficacité. Cela permet ainsi de débuter une nouvelle année avec le minimum de varroas possible dans les colonie.
Nous avons également profité de ce passage pour peser vos ruches et vérifier les stocks de nourriture.
Bon début d’année,
Visite des derniers jours
Suite à mon dernier passage j'ai constaté que malgré le temps médiocre, l’activité des abeilles reste encore bien soutenue . Afin d’affronter la période automnale, la colonie doit réduire ses effectifs. Pour ce faire la reine a fortement diminué sa ponte et les faux-bourdons ont été remerciés manu militari
Parallèlement la colonie doit aussi continuer à s’alimenter et les ressources commencent à se réduire fortement, mais heureusement il y a le lierre ..:-)
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Le lierre grimpant, Hedera helix, est une plante mellifère de la famille des Araliacées. Cette plante ornementale est aussi appelée lierre commun, lierret, herbe de Saint-Jean, drienne, rondelette, rondote ou encore rondette. Certains le surnomme à tort le bourreau des arbres, parce qu’il les escalade et les recouvre en s’enroulant tout autour. Mais, il ne cause pas pour autant leur perte.
On distingue deux espèces de lierres : le lierre grimpant phanérophyte et / ou rampant : on le rencontre surtout dans les régions tempérées et le lierre grimpant : c’est l’espèce la plus commune.

La floraison du lierre grimpant n’est pas longue : de fin septembre à octobre (et selon les régions à novembre). Néanmoins, le lierre est une plante d’un intérêt apicole non négligeable : c’est une source de pollen et de nectar pour les abeilles à un moment où l’hiver s’approche et où les fleurs et les fruits se font de plus en plus rares. C’est la dernière « grosse » miellée avant l’hiver.
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Goût et vertus du miel de lierre:
Le miel de lierre est de couleur ambre foncé et possède une saveur forte et distincte. On dit qu’il a un arrière-goût légèrement amer. Il est reconnu pour ses propriétés anti-inflammatoires et est également considéré comme un remède naturel efficace contre les allergies.
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Le saviez vous ?
Une abeille sauvage la très joliment appelée Collète du lierre (photo jointe) connaît son pic d’activité au moment de la floraison du lierre. Les femelles collectent entre autre le pollen du lierre pour garnir les loges de son nid. Encore une belle collaboration
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Le saviez vous 2 ?
Attention toutes les parties du lierre grimpant sont toxiques pour les mammifères, notamment pour les hommes. Une toxicité due à la présence des saponines.
visite de la semaine
Point floraisons en juin :
Comme vous le savez probablement, il y a 3 facteurs à prendre en compte afin de s’assurer de belles récoltes de miel :
- Des colonies en bonne santé.
- Des floraisons abondantes dans un rayon de 3km autour des ruches
- Une météo clémente et stable avec un minimum de soleil…
Pour ce dernier point, ce printemps pluvieux a considérablement réduit l'activité des abeilles à l'extérieur de la ruche et la disponibilité en ressources alimentaires. Cependant, la saison n'est pas terminée et les grandes miellées d'été sont sur le point de commencer :
- Le tilleul : Les tilleuls commencent tout juste à fleurir. Leur floraison est rapide, mais avec une météo clémente, ils peuvent fournir une importante quantité de nectar et donc de miel. Son aspect crémeux et son arrière-goût mentholé rendent ce miel délicieux.
- La ronce : La floraison de la ronce est plus longue, s'étendant de juin à août. La ronce offre aux abeilles une grande quantité de nectar et de pollen, reconnaissable à sa couleur vert pâle. Bien que cette plante ne soit pas toujours appréciée, elle joue un rôle crucial dans notre écosystème, fournissant nourriture et abri à de nombreuses espèces.
- Le châtaignier : Les prémices des chatons de châtaignier sont déjà visibles. Ils devraient fleurir d'ici quelques jours / semaines. Les abeilles sont attirées par les châtaigniers en raison des grandes quantités de nectar et de pollen présents dans les fleurs mâles de cette plante mellifère. Le miel de châtaignier est de couleur brune, saveur boisée, corsée, avec un arrière-goût un peu amer. Il se cristallise lentement et grossièrement.
En espérant que la météo des prochaines semaines soit favorable, pour nous et nos petites abeilles.



Photo 1 : Fleurs de tilleul
Photo 2 : Fleurs de ronce
Photo 3 : Prémisses des chatons de châtaignier
Photo 4 : Tableau des couleurs des différents pollens
visite du 02/05
Après un mois d avril compliqué d’un point de vue météo le mois de mai approche ! Mois souvent synonyme de disette pour les abeilles … c’est pour cela que nous ne prélevons pas le miel de printemps
Sur vos trois ruches, l une manque un peu de réserve alimentaire mais a une hausse pleine de miel : ce qui va lui permettre d’attendre les prochaines floraisons ; les autres possèdent de grosses réserves et tout va bien !!
Prochain passage d’ici une quinzaine de jours !
ps : sur la photo on voit bien les reserves sur le haut du cadre
Voici quelques semaines maintenant que je repasse visiter vos ruches et les accompagner dans ce début de printemps plutôt chaotique !
En cette mi-avril, vous avez certainement remarqué l'odeur prononcée de choux dans les champs ! Ce parfum caractéristique est celui du colza, annonçant le début de sa sécrétion de nectar. Celle-ci lui permet d'attirer les insectes pollinisateurs et favorise la fécondation de ses fleurs.
Le colza, grâce à son abondance, fournit pollen et nectar en quantités considérables aux insectes pollinisateurs. Sa floraison débute tôt, généralement en avril, s'étalant sur plusieurs semaines. Cette année, elle est même en avance de quelques semaines !
Au cours des dix dernières années, la culture du colza a augmenté de près de 40 % à l'échelle mondiale, principalement en raison de son utilisation dans la production de biodiesel, destinant ainsi près de 60 % du colza européen à cette fin.
Le colza produit tellement de nectar que certains apiculteurs choisissent d'en faire une récolte à part entière. Cependant, chez BeeCity, nous préférons ne pas le récolter, optant pour une seule récolte annuelle fin juillet. Cette décision est prise en prévision de la "trouée de miellée", une période d'environ quinze jours vers la mi-mai, caractérisée par une faible disponibilité de ressources alimentaires pour les abeilles, située entre deux importantes périodes de floraison : le printemps et l'été.
Le saviez-vous ? Le miel de colza est connu pour sa clarté et sa tendance à cristalliser rapidement en raison de sa concentration élevée en glucose.
visite de cette semaine
À l'approche du printemps, vos abeilles ont déjà commencé leurs premières récoltes de pollen et de nectar, attirées notamment par les floraisons de noisetier, de mimosa d'hiver, de bruyère et des Prunus.
Vos ruches retrouvent progressivement leur dynamisme. La reine reprend doucement sa ponte, et les premiers cadres de couvain sont déjà observables !
Mais en fait, qui est la reine ? Quel est son rôle ?
Le rôle principal de la reine est la ponte. Sur une durée de vie moyenne de 5 ans, elle aura pondu plus d'un million d'œufs. Alimentée de gelée royale par les abeilles ouvrières (nourrices), la reine présente un profil distinctif :
- Plus grande qu'une abeille ouvrière (20 mm comparés aux 15 mm de l’abeille ouvrière).
- Son abdomen est plus gros et moins poilu.
- Son dard est lisse, tandis que celui des ouvrières est muni de crochets.
- Elle a la capacité de pondre et de déterminer le sexe des œufs qu'elle produit.
- La reine s'accouple en plein vol avec les faux-bourdons (Cf.Photo 2).
- Elle communique avec l'ensemble de la colonie grâce à des signaux chimiques, appelés des phéromones. Elle dicte d'ailleurs "l'humeur et le caractère" de la colonie !
- Les apiculteurs marquent les reines pour suivre leur âge et les identifier plus facilement (Cf.Photo 3).
- En hiver, la reine cesse pratiquement de pondre et se regroupe avec le reste de la colonie pour survivre au froid.
Le saviez-vous ? La reine chante ! Quelques instants après sa naissance, elle émet un chant pour annoncer sa présence à la colonie.
Le dernier passage de l'année coïncide avec le deuxième traitement contre le varroa, le fameux poux de l'abeille 🙁
En effet, le traitement du varroa en fin de saison n’est plus suffisant pour contenir l’infestation des ruches par le parasite. L’acide oxalique est souvent utilisé en traitement complémentaire en apiculture et reste un des traitements les plus efficaces hors couvain, c’est à dire en l’absence de ponte de la reine.
Certains apiculteurs conçoivent même cette opération comme le traitement principal du varroa, alors que celui effectué en fin de saison (acide formique, thymol, apivar…) est considéré comme un traitement d’attente seulement destiné à contenir le développement de l’infestation en attendant l’administration de cet acide oxalique.
Le mot oxalis vient du grec oseille…. parce que cet acide est une substance que l’on trouve naturellement dans l’oseille mais aussi la rhubarbe, ou encore la betterave, le persil ou la framboise. Aucun résidu ne se retrouve dans le miel… Certains miels, d’ailleurs, en contiennent déjà naturellement. C’est le cas du miel de châtaignier.
Dans la ruche, en période hivernale, la reine stoppe sa ponte, et trois semaines plus tard, la colonie n’a plus de couvain operculé (plus de cellules fermées). Elle reprendra sa ponte lorsque les températures seront plus clémentes. C’est précisément à ce moment que le traitement à l’acide oxalique sera véritablement performant. En effet, le varroa se développe au contact d’une jeune larve et l’opercule qui fermera l’alvéole constitue une protection puissante pour le varroa et le produit deviendra inefficace en présence de ce bouclier de cire.
L’administration de l’acide oxalique par dégouttement est très simple à mettre en œuvre. C’est cette méthode que nous utilisons. Elle ne nécessite qu’un seul passage durant l’hiver et très peu de matériel.
Le traitement se fait en versant un sirop tiède, contenant de l’acide oxalique, directement sur la grappe d’abeilles. La colonie va ensuite faire circuler ce sirop, les abeilles vont se lécher pour assimiler celui-ci..Ce procédé permet d’éliminer entre 95 et 98% des varroas présents dans la ruche. Il est donc redoutablement efficace.
Pour créer le mélange, il convient de diluer l’acide oxalique à un sirop léger dit de 50/50, c’est à dire 1 kg d’eau pour 1 kg de sucre. Dans ce sirop, on introduis ensuite 35 à 40 grammes d’acide oxalique par litre.
Une fois prêt, face à la ruche, à l’aide d’une seringue graduée ou d’un pistolet, on fera couler 5 ml de ce mélange entre chacun des cadres investis par des abeilles. En utilisant un pistolet relié à une bouteille d’1,5 litres de contenance, je parviens à traiter plus d’une quarantaine de ruches.
La température du sirop doit être de 30 degrés environ pour permettre à l’acide de conserver toute son efficacité.
Pour permettre au traitement d’agir efficacement, il est préférable de l’appliquer quand la température extérieure est supérieure à 7°c sans dépasser 12°c. Autour de 10°c, la grappe d’abeilles s’aère légèrement et le traitement s’imprégnera davantage et sera plus efficace.
visite de rentrée 2023
Après la récolte de votre miel courant juillet nous avons laissé vos abeilles se refaire une santé pendant l'été et collecter le nectar nécessaire pour affronter l'hier ! (qui est encore loin d'arriver !!) Pour cette rentrée j'ai pu venir vérifier que ce stock de nourriture est suffisant et si besoin de les aider en ajoutant du sirop...
Vous avez sûrement vu des frelons asiatiques tourner autour des ruches.
Qui est-il ?
Quels risques ?
Quelles solutions ?
Qui est le frelon asiatique ?
Arrivé en France en 2004, il s’est développé très rapidement sur l’ensemble du territoire français
Il a été classé comme danger sanitaire pour l’abeille domestique et comme espèce exotique envahissante.
Il se nourrit de toutes sortes d'insectes et particulièrement d'abeilles domestiques (facilité, disponibilité).
Il n’est pas agressif vis-à-vis de l'homme si on ne le dérange pas.
Quels risques pour les ruches ?
- En cas de forte pression des frelons, le fonctionnement de la ruche peut se trouver paralysé. Cela provoque un stress et la baisse de l’activité de butinage.
- Dans de rares cas, les colonies faibles disparaissent.
Quelles solutions aujourd’hui ?
Il n’existe pas encore de solution miracle.
- Le piégeage : Restons vigilant car certains pièges vont capturer des insectes non-ciblés et en quantité bien supérieure aux frelons asiatiques
- La destruction des nids : Le repérage reste très difficile et la destruction doit être réalisée par un professionnel
- Le maintien d’une bonne population d’abeilles dans la ruche est la meilleure défense.
Soyez rassurés votre apiculteur préféré veille sur vos ruches…notamment en ajoutant un peu de protéines végétales pour les aider à faire face aux attaques qui les empêchent de sortir.
Voici venue l’heure de récolter les hausses à miel sur votre site !!
Il y a quelques jours maintenant je suis passé enlever les hausses sur vos ruches !
Nous ne récoltons les hausses qu’une seule fois par an, courant juillet en général. Chaque colonie peut remplir jusqu’à 2 voir 3 hausses. Ceci étant plutôt variable selon l’environnement et la santé de la colonie.
Mode opératoire :
1- nous brossons délicatement chaque cadre de hausse grâce à une brosse dédiée pour faire redescendre les abeilles dans le corps de ruche. Chaque hausse contient 9 cadres.
2- nous faisons dans le corps de ruche un traitement anti-varroa (le poux de l’abeille), en posant des languettes APIVAR sur le couvain
3- nous nourrissons en compensation avec du liquide sucré. Sur chaque corps de ruche (sous le toit) est positionné un nourrisseur, ce-dernier permet de nourrir la ruche au besoin.
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Une fois sur notre dépôt nous désoperculons chaque cadre de hausses et faisons la mise en seau. Ce n’est qu’on septembre que nous faisons la mise en pots.
Visite du 16/06
La saison n’est pas encore finie !!
vos abeilles se régalent du nectar de châtaignier
Le mois de juin est le mois de la floraison du Châtaignier. Vous seriez impressionnés par le nombre d’abeilles que cet arbre attire. Promesse d’une miellée conséquente (mais parfois irrégulière), cet arbre est également une excellente source de pollen et de miellat.
Le châtaignier dispose de fleurs particulières car elles font à la fois des fleurs males et des fleurs femelles. Ceci, sur le même arbre et disposées de manière nettement séparées. En botanique, on appelle cela des fleurs diclines. Les fleurs mâles sont celles qui produisent du pollen. Elles se prolongent comme de longues tiges hérissées d’innombrables étamines – appelées couramment chatons.
Le pollen de châtaignier est donc très abondant. Les abeilles agglomèrent les grains de pollen et forment une pelote qu’elles disposent sur leurs pattes arrières. Les abeilles apportent ainsi 2 pelotes à chaque voyage. Une fois dans la ruche elles amassent les pelotes dans les alvéoles et les confisent avec un peu de miel pour les conserver un peu plus longtemps.
Il arrive que les abeilles remplissent toutes les alvéoles rapidement tant ce pollen est abondant. La reine peut alors avoir des difficultés à trouver des alvéoles libres pour pondre. On parle alors de « blocage » de la ponte au pollen.
Visite du 16/05
Nos dernières visites ont été tournées vers le contrôle de l’essaimage… notre volonté chez Beecity est de vouloir le contrôler pour votre tranquillité
Voici une explication de ce phénomène :
Durant le printemps et le début de l’été, les abeilles se livrent à un
phénomène naturel appelé essaimage. À cette période de l’année, les
plantes produisent une quantité importante de nectar et de pollen, ce
qui permet aux colonies d’abeilles de se développer jusqu’à atteindre
une population pouvant aller jusqu’à 60 000 individus. Les colonies se
sentent alors suffisamment fortes pour se reproduire et assurer la
survie de l’espèce en créant un second essaim.
Quand cette « fièvre d’essaimer » débute, il peut devenir compliqué de
les en empêcher. D’où la régularité de nos passages en cette période.
En cas d’essaimage, la reine actuelle, accompagnée d’environ la moitié
de la population de la colonie, quitte la ruche pour former un nouvel
essaim à l’extérieur. Celui-ci forme alors un nuage d’abeilles qui
parcourt son territoire à la recherche d’un endroit propice pour
s’établir et reformer une colonie.
Un essaim est très impressionnant, mais le danger pour l’Homme est
moindre car une abeille issue d’un essaim pique rarement pour plusieurs
raisons :
– Les abeilles sont sans logis, sans couvain et sans provisions. Elles
n’ont rien à défendre.
– Chaque abeille remplit son jabot de miel avant le départ. C’est la
seule source de nourriture disponible pour l’essaim à court terme. Une
abeille gavée de miel ne pique pas. C’est d’ailleurs pour cela qu’on
enfume une ruche avant de s’en approcher. L’enfumage pousse les
abeilles à se gaver de miel avant un éventuel départ d’urgence lié à un
incendie.
– Le sacrifice en grand nombre des abeilles conduit directement à
l’affaiblissement de l’essaim puisqu’une abeille meurt après avoir piqué
un homme (arrachement de l’aiguillon). L’établissement de la nouvelle
colonie nécessite de conserver le maximum d’effectif.
Visite du 07/04
C’est bien parti ! Vos ruches ont déjà bien rempli les premières hausses !!
tout va bien !! En photo l une de vos reines !
Visite du 17/06
Les abeilles profitent de la floraison des châtaigniers
visite du 1er juin
Vos abeilles vont très bien ! pose d'une hausse supplémentaire sur certaines !
En photo une des reines qui est nourrie par ses filles
Prêt à passer
à l’action ?
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