
LEROY MERLIN Betton

3ruche(s)
Pour ce premier passage de l’année 2025, et en cette période de faible activité dans les ruches, nous effectuons un traitement à l’acide oxalique sur vos colonies.
Ce traitement, couramment utilisé en apiculture biologique, permet d’éliminer les varroas (acariens, également appelés "poux de l’abeille") présents dans les ruches.
Nous l’appliquons en hiver, lorsque la reine cesse de pondre, afin d’optimiser son efficacité. Cela permet ainsi de débuter une nouvelle année avec le minimum de varroas possible dans les colonie.
Nous avons également profité de ce passage pour peser vos ruches et vérifier les stocks de nourriture. Dans votre cas, ces derniers sont suffisants.
Bon début d'année,
Visite du 22 juillet 2024 : Récolte
Voici venue l’heure de récolter le miel sur votre site, et oui déjà !!
BEECITY ne récolte les hausses qu’une seule fois par an, courant juillet en général. Les belles années, chaque colonie peut remplir jusqu’à 3 voir 4 hausses. Ceci étant plutôt variable selon l’environnement et la santé de la colonie. Cette année était plutôt une année défavorable
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Rappel mode opératoire :
1- nous brossons délicatement chaque cadre de hausse grâce à une brosse dédiée pour faire redescendre les abeilles dans le corps de ruche. Chaque hausse contient 9 cadres.
2- nous faisons dans le corps de ruche un traitement anti-varroa (le poux de l’abeille), en posant des languettes APIVAR sur le couvain
3- nous nourrissons afin de provoquer une période de blocage de ponte de la reine, et ainsi rendre le traitement anti-varroa plus efficace.
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Une fois sur notre dépôt nous désoperculons chaque cadre de hausses et faisons la mise en seau. Ce n’est qu’on septembre que nous faisons la mise en pots.
Bel été !!
Vos colonies se portent bien, ces deux dernières semaines ensoleillées ont fait du bien aux abeilles ! 🙂
Point floraisons en juin :
Comme vous le savez probablement, il y a 3 facteurs à prendre en compte afin de s’assurer de belles récoltes de miel :
– Des colonies en bonne santé.
– Des floraisons abondantes dans un rayon de 3km autour des ruches
– Une météo clémente et stable avec un minimum de soleil…
Pour ce dernier point, ce printemps pluvieux a considérablement réduit l’activité des abeilles à l’extérieur de la ruche et la disponibilité en ressources alimentaires. Cependant, la saison n’est pas terminée et les grandes miellées d’été sont sur le point de commencer :
– Le tilleul : Les tilleuls commencent tout juste à fleurir. Leur floraison est rapide, mais avec une météo clémente, ils peuvent fournir une importante quantité de nectar et donc de miel. Son aspect crémeux et son arrière-goût mentholé rendent ce miel délicieux.
– La ronce : La floraison de la ronce est plus longue, s’étendant de juin à août. La ronce offre aux abeilles une grande quantité de nectar et de pollen, reconnaissable à sa couleur vert pâle. Bien que cette plante ne soit pas toujours appréciée, elle joue un rôle crucial dans notre écosystème, fournissant nourriture et abri à de nombreuses espèces.
– Le châtaignier : Les prémices des chatons de châtaignier sont déjà visibles. Ils devraient fleurir d’ici quelques jours / semaines. Les abeilles sont attirées par les châtaigniers en raison des grandes quantités de nectar et de pollen présents dans les fleurs mâles de cette plante mellifère. Le miel de châtaignier est de couleur brune, saveur boisée, corsée, avec un arrière-goût un peu amer. Il se cristallise lentement et grossièrement.
En espérant que la météo des prochaines semaines soit favorable, pour nous et nos petites abeilles.
Photo 1 : Fleurs de tilleul
Photo 2 : Fleurs de ronce
Photo 3 : Prémisses des chatons de châtaignier
Photo 4 : Tableau des couleurs des différents pollens
À l’exception de quelques journées ensoleillées, nous faisons face à un début d’année marqué par la pluie et le vent. Cette météo rend le printemps particulièrement difficile pour nos abeilles, au point que de nombreux départements français sont en alerte « famine apicole ».
Le manque de journées ensoleillées réduit les périodes d’activité des abeilles. Les vents réguliers et les fortes pluies lessivent les fleurs des arbres qui sont habituellement une source de nourriture importante au printemps. Cette période de disette est telle que de nombreux apiculteurs doivent nourrir leurs colonies pour les aider à survivre en cette période difficile.
Lors de ma dernière visite, j’ai donc vérifié si les ressources en miel de vos abeilles étaient suffisantes, et heureusement, c’est le cas ! Vos abeilles sont en pleines formes
Celles-ci attendent avec impatience le retour du soleil pour pouvoir profiter des floraisons à venir, telles que l’acacia, le tilleul, la ronce, …, sources importantes en nectar et en pollen (cf. photos).
CR AVRIL
En cette mi-avril, vous avez certainement remarqué l'odeur prononcée de choux dans les champs ! Ce parfum caractéristique est celui du colza, annonçant le début de sa sécrétion de nectar. Celle-ci lui permet d'attirer les insectes pollinisateurs et favorise la fécondation de ses fleurs.
Le colza, grâce à son abondance, fournit pollen et nectar en quantités considérables aux insectes pollinisateurs. Sa floraison débute tôt, généralement en avril, s'étalant sur plusieurs semaines. Cette année, elle est même en avance de quelques semaines !
Au cours des dix dernières années, la culture du colza a augmenté de près de 40 % à l'échelle mondiale, principalement en raison de son utilisation dans la production de biodiesel, destinant ainsi près de 60 % du colza européen à cette fin.
Le colza produit tellement de nectar que certains apiculteurs choisissent d'en faire une récolte à part entière. Cependant, chez BeeCity, nous préférons ne pas le récolter, optant pour une seule récolte annuelle fin juillet. Cette décision est prise en prévision de la "trouée de miellée", une période d'environ quinze jours vers la mi-mai, caractérisée par une faible disponibilité de ressources alimentaires pour les abeilles, située entre deux importantes périodes de floraison : le printemps et l'été.
Le saviez-vous ? Le miel de colza est connu pour sa clarté et sa tendance à cristalliser rapidement en raison de sa concentration élevée en glucose.
LM
Visite du 03/04 :
Vos colonies se portent bien ! Votre colonie de droite (R3) commence même déjà à remplir sa hausse de miel (Cf photo).
Avec l’augmentation des températures à venir, elles pourront profiter pleinement des fleurs du printemps. De plus, les champs de colza à Betton vont bientôt commencer à sécréter du nectar, offrant ainsi un véritable festin pour les abeilles ️
Visite du 20/03/24 :
A l’heure actuelle, une espèce d’abeilles et de papillons sur dix est menacée d’extinction en Europe.
D’un point de vue planétaire, ceci est même conceptualisé comme le Syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles.
Les causes du déclin des polinisateurs :
Quelles en sont véritablement les causes ?
– Le changement d’affectation des sols pour l’agriculture ou l’urbanisation (artificialisation ds sols) qui entraînent la perte et la dégradation des habitats naturels
– L’agriculture intensive qui contribue à l’uniformisation des paysages et à la disparition de la diversité de la flore, ce qui réduit les ressources en nourriture et en nidification de ces espèces
– Les pesticides et autres polluants qui affecte les pollinisateurs tant directement (insecticides et fongicides) qu’indirectement (herbicides)
– Les espèces exotiques envahissantes telles que le frelon à pattes jaunes (Vespa velutina) et les maladies (la Varrose issue du Varroa, la Loque, etc…), particulièrement dangereuses pour les abeilles domestiques.
– Le changement climatique qui entraîne une hausse des températures ainsi que des phénomènes météorologiques extrêmes créent un climat de stress pour les colonies
Le saviez vous ? : les campagnes de piégeage des reines frelons (les fondatrices) ont débutés. Ne pas hésitez à se renseigner auprès de vos mairies ou sur le site de l’UNAF apiculture.
Petite victoire ! Nous avons capturé nos premières reines de frelons à pattes jaunes (asiatique) sur votre site !Visite du 22/02
Visite du 22/02/2024 :
Vos colonies se portent bien ! Nous remplacerons votre colonie numéro 1 (celle de gauche), qui n'a malheureusement pas survécu à l'automne/hiver, lors de notre prochain passage.
À l’approche du printemps (et oui déjà :-), vos abeilles ont déjà commencé leurs premières récoltes de pollen et de nectar, attirées notamment par les floraisons de noisetier, de mimosa d’hiver, de bruyère et des Prunus.
Les colonies retrouvent progressivement leur dynamisme. La reine reprend doucement sa ponte, et les premiers cadres de couvain sont déjà observables !
Mais en fait, qui est la reine ? Quel est son rôle ?
Le rôle principal de la reine est la ponte. Sur une durée de vie moyenne de 5 ans, elle aura pondu plus d’un million d’œufs. Alimentée de gelée royale par les abeilles ouvrières (nourrices), la reine présente un profil distinctif :
– Plus grande qu’une abeille ouvrière (20 mm comparés aux 15 mm de l’abeille ouvrière).
– Son abdomen est plus gros et moins poilu.
– Son dard est lisse, tandis que celui des ouvrières est muni de crochets.
– Elle a la capacité de pondre et de déterminer le sexe des œufs qu’elle produit.
– La reine s’accouple en plein vol avec les faux-bourdons
– Elle communique avec l’ensemble de la colonie grâce à des signaux chimiques, appelés des phéromones. Elle dicte d’ailleurs « l’humeur et le caractère » de la colonie !
– Les apiculteurs marquent les reines pour suivre leur âge et les identifier plus facilement (voir photo).
– En hiver, la reine cesse pratiquement de pondre et se regroupe avec le reste de la colonie pour survivre au froid.
Le saviez-vous ? La reine chante ! Quelques instants après sa naissance, elle émet un chant pour annoncer sa présence à la colonie.
Visite de décembre
Les 3 colonies sur votre site ont réagi de façon différente à l’attaque des frelons et du varroa. Malheureusement la colonie numéro 1 (celle de gauche) n’a pas survécu. Nous la remplacerons dès que les températures remonterons. Les deux autres, quant à elles, sont en pleine forme (voir photo).
Le dernier passage de l’année coïncide avec le deuxième traitement contre le varroa, le fameux poux de l’abeille
En effet, le traitement du varroa en fin de saison n’est plus suffisant pour contenir l’infestation des ruches par le parasite. L’acide oxalique est souvent utilisé en traitement complémentaire en apiculture et reste un des traitements les plus efficaces hors couvain, c’est à dire en l’absence de ponte de la reine.
Certains apiculteurs conçoivent même cette opération comme le traitement principal du varroa, alors que celui effectué en fin de saison (acide formique, thymol, apivar…) est considéré comme un traitement d’attente seulement destiné à contenir le développement de l’infestation en attendant l’administration de cet acide oxalique.
Le mot oxalis vient du grec oseille…. parce que cet acide est une substance que l’on trouve naturellement dans l’oseille mais aussi la rhubarbe, ou encore la betterave, le persil ou la framboise. Aucun résidu ne se retrouve dans le miel… Certains miels, d’ailleurs, en contiennent déjà naturellement. C’est le cas du miel de châtaignier.
Dans la ruche, en période hivernale, la reine stoppe sa ponte, et trois semaines plus tard, la colonie n’a plus de couvain operculé (plus de cellules fermées). Elle reprendra sa ponte lorsque les températures seront plus clémentes. C’est précisément à ce moment que le traitement à l’acide oxalique sera véritablement performant. En effet, le varroa se développe au contact d’une jeune larve et l’opercule qui fermera l’alvéole constitue une protection puissante pour le varroa et le produit deviendra inefficace en présence de ce bouclier de cire.
L’administration de l’acide oxalique par dégouttement est très simple à mettre en œuvre. C’est cette méthode que nous utilisons. Elle ne nécessite qu’un seul passage durant l’hiver et très peu de matériel.
Le traitement se fait en versant un sirop tiède, contenant de l’acide oxalique, directement sur la grappe d’abeilles. La colonie va ensuite faire circuler ce sirop, les abeilles vont se lécher pour assimiler celui-ci..Ce procédé permet d’éliminer entre 95 et 98% des varroas présents dans la ruche. Il est donc redoutablement efficace.
Pour créer le mélange, il convient de diluer l’acide oxalique à un sirop léger dit de 50/50, c’est à dire 1 kg d’eau pour 1 kg de sucre. Dans ce sirop, on introduis ensuite 35 à 40 grammes d’acide oxalique par litre.
Une fois prêt, face à la ruche, à l’aide d’une seringue graduée ou d’un pistolet, on fera couler 5 ml de ce mélange entre chacun des cadres investis par des abeilles. En utilisant un pistolet relié à une bouteille d’1,5 litres de contenance, je parviens à traiter plus d’une quarantaine de ruches.
La température du sirop doit être de 30 degrés environ pour permettre à l’acide de conserver toute son efficacité.
Pour permettre au traitement d’agir efficacement, il est préférable de l’appliquer quand la température extérieure est supérieure à 7°c sans dépasser 12°c. Autour de 10°c, la grappe d’abeilles s’aère légèrement et le traitement s’imprégnera davantage et sera plus efficace.
Bonnes fêtes de fin d’année et à bientôt pour l’ouverture de printemps ! ️
Visite de ruche rentrée 2023
Vos colonies se portent à merveilles. Elles ont préparé leurs réserves pour passer l'hiver tranquillement. Nous avons installé des muselières anti-frelons pour aider au mieux les abeilles à se défendre contre le frelon asiatique. Nous avons également intégré de nouvelles reines (ROUGE couleur de cette année)au sein des colonies où les reines été trop âgées. Nous leurs souhaitons une bonne intégration en cette rentrée 2023.
Thème du jour : “fleurs de ronces”
Les fleurs de ronces sont hermaphrodites, elles constituent une ressource clé tant en pollen qu’en nectar pour les abeilles à une période où les floraisons peuvent commencer à manquer. Les abeilles domestiques et sauvages représentent 60% de ses pollinisateurs.
La ronce « hyper » présente en Bretagne est un mûrier qui fleurit entre la fin du mois de juin et le début du mois d’août. Cette floraison peut durer et s’étaler sur près d’un mois. En fait, tout dépend des altitudes et de l’exposition de l’arbuste.
Plante sauvage, souvent et puissamment combattue par les désherbants et les machines débroussailleuses, la ronce perd de plus en plus du terrain. Chose regrettable, surtout si l’on sait qu’elle est à l’origine d’un miel de cru, délicat, particulièrement prisé des consommateurs et des amoureux du –pain d’épices, mais aussi de la mûre
Le miel de ronce a plusieurs vertus et bienfaits . Sa forte concentration en sucres directement assimilables, en fait un excellent aliment énergétique. Ce miel de forêt est également un produit particulièrement riche en minéraux. Il est tonique, dynamisant et diurétique.
C’est un produit qui est recommandé en cas d’infections des voies respiratoires. En effet, consommer le miel de ronce permet de calmer la toux et aide à soigner les angines, les maux de gorges, les enrouements et même les aphtes.
Ici une abeille domestique et un bourdon des champs en pleine action de pollinisation !
Thème du jour: Où est la reine ?
Où est la reine ?
Lors de nos visites régulières de vos ruches, l'une de nos missions clés
consiste à localiser la reine pour vérifier son état de santé. Celle-ci
est repérable au point de couleur qu'elle porte sur son thorax. La
couleur du marquage, faite à l’aide d’un feutre Posca (blanc, bleu,
jaune, rouge et vert), nous indique l’année de sa naissance.
Toutefois, il peut arriver que les ouvrières retirent ce marquage en
nettoyant leur reine. La repérer devient alors plus difficile.
Il reste cependant possible de la distinguer morphologiquement d’une
abeille ouvrière par sa taille, qui est généralement plus grande, ainsi
que par sa forme plus élancée et son abdomen plus long.
Maintenant à vous de jouer, sauriez vous la repérer ?
Theme du jour: L’essaimage
Durant le printemps et le début de l'été, les abeilles se livrent à un
phénomène naturel appelé essaimage. À cette période de l'année, les
plantes produisent une quantité importante de nectar et de pollen, ce
qui permet aux colonies d'abeilles de se développer jusqu'à atteindre
une population pouvant aller jusqu'à 60 000 individus. Les colonies se
sentent alors suffisamment fortes pour se reproduire et assurer la
survie de l'espèce en créant un second essaim.
Quand cette « fièvre d’essaimer » débute, il peut devenir compliqué de
les en empêcher. D’où la régularité de nos passages en cette période.
En cas d'essaimage, la reine actuelle, accompagnée d'environ la moitié
de la population de la colonie, quitte la ruche pour former un nouvel
essaim à l'extérieur. Celui-ci forme alors un nuage d’abeilles qui
parcourt son territoire à la recherche d’un endroit propice pour
s’établir et reformer une colonie.
Un essaim est très impressionnant, mais le danger pour l’Homme est
moindre car une abeille issue d’un essaim pique rarement pour plusieurs
raisons :
- Les abeilles sont sans logis, sans couvain et sans provisions. Elles
n’ont rien à défendre.
- Chaque abeille remplit son jabot de miel avant le départ. C’est la
seule source de nourriture disponible pour l’essaim à court terme. Une
abeille gavée de miel ne pique pas. C’est d’ailleurs pour cela qu’on
enfume une ruche avant de s’en approcher. L’enfumage pousse les
abeilles à se gaver de miel avant un éventuel départ d’urgence lié à un
incendie.
- Le sacrifice en grand nombre des abeilles conduit directement à
l’affaiblissement de l’essaim puisqu’une abeille meurt après avoir piqué
un homme (arrachement de l’aiguillon). L’établissement de la nouvelle
colonie nécessite de conserver le maximum d’effectif.
Visite de ruche
Vos ruches se portent très bien et la première hausse est déjà remplie. Nous avons donc installé une deuxième hausse pour plus de miel.
Visite de ruche
- Le pollen, un allergène mais quoi d’autres ? Puisque nous sommes en période de printemps et que le pollen commence à être abondant, ce qui peut causer des rhinites saisonnières chez certaines personnes, nous allons vous informer davantage sur ce sujet.
Visite de ruche
Vos ruches se portent très bien, a tels points que les hausses commencent déjà à se remplir. Vous pouvez voir sur la photo la reine en train de se balader sur le cadre.
Visite de printemps, vos ruches ont très bien supporté l'hiver. C'est pourquoi nous avons mis des hausses comme vous pouvez le voir sur la photo. La saison que nous attendions tous avec impatience a commencé.
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