RESIDENCE DU CHATEAU

indicateurs biodiversité

1ruche(s)
Partager
Ils ont animé, Ils ont récolté, Ils ont ruché

Floraison du saule marsault : 

La floraison star des mois de février et mars est celle du saule marsault, dont le pollen est excellent et surtout abondant.

Cet arbre à croissance rapide se retrouve couramment à l’état sauvage dans toute la France. Il se différencie des autres espèces de saules par ses feuilles plus larges et son écorce, d’abord gris-verte, qui devient grise et se crevasse en formant de petits losanges avec le temps.

Le saule marsault est un arbre dit dioïque, c’est-à-dire qu’il porte soit des fleurs mâles, soit des fleurs femelles (comme le kiwi 🥝 et le houblon).

Les fleurs mâles des arbres mâles offrent donc du pollen aux abeilles, tandis que les arbres femelles, quant à eux, produisent du nectar.

Il est donc une source de vie importante pour les abeilles en ce début d’année !

Aux premiers beaux jours, vous verrez quelques abeilles faire leurs emplettes de pollen, qu’elles façonnent en pelotes autour de leurs pattes arrière.

Le saviez-vous ?  Son écorce contient de la salicine, une substance qui a inspiré la création de l’aspirine ! 💊🌳

 

Vos abeilles sont en excellente santé et ont très bien traversé le cœur de l’hiver !

 

Après avoir été déplacée pendant trois mois sur l’un de nos ruchers où les frelons asiatiques étaient moins présents, votre colonie fait enfin son grand retour ! L’absence de frelons sur ce rucher a permis à vos abeilles de passer paisiblement cette période d'automne. Elles vous reviennent donc en pleine forme, prêtes à passer les fêtes et à entamer 2025 avec force et vitalité. Excellentes fêtes de fin d’année à vous et à vos protégées ailées !

Visite de septembre :   En cette période où les nids de frelons deviennent de plus en plus volumineux, la pression autour des ruches peut considérablement augmenter. Dans certains cas, comme sur votre site, le nombre de frelons est si important qu'il est préférable de retirer temporairement la ruche jusqu'au début de l'hiver, lorsque les frelons auront abandonné leur nid. Nous avons déplacé votre ruche vers notre rucher à La Mézière, où nous n'avons pas observé de frelons cette année. Vos abeilles peuvent ainsi retrouver leur liberté et profiter de la dernière floraison de l'année : le lierre.

Visite juillet : Récolte   Voici venue l’heure de récolter le miel sur votre site, et oui déjà !!   BEECITY ne récolte les hausses qu’une seule fois par an, courant juillet en général. Les belles années, chaque colonie peut remplir jusqu’à 3 voir 4 hausses. Ceci étant plutôt variable selon l’environnement et la santé de la colonie. Cette année était plutôt une année défavorable  —– Rappel mode opératoire : 1- nous brossons délicatement chaque cadre de hausse grâce à une brosse dédiée pour faire redescendre les abeilles dans le corps de ruche. Chaque hausse contient 9 cadres. 2- nous faisons dans le corps de ruche un traitement anti-varroa (le poux de l’abeille), en posant des languettes APIVAR sur le couvain 3- nous nourrissons afin de provoquer une période de blocage de ponte de la reine, et ainsi rendre le traitement anti-varroa plus efficace. — Une fois sur notre dépôt nous désoperculons chaque cadre de hausses et faisons la mise en seau. Ce n’est qu’on septembre que nous faisons la mise en pots.   Bel été !!

Votre colonie se porte bien, ces deux dernières semaines ensoleillées ont fait du bien aux abeilles !   Point floraisons en juin : Comme vous le savez probablement, il y a 3 facteurs à prendre en compte afin de s’assurer de belles récoltes de miel : – Des colonies en bonne santé. – Des floraisons abondantes dans un rayon de 3km autour des ruches – Une météo clémente et stable avec un minimum de soleil…   Pour ce dernier point, ce printemps pluvieux a considérablement réduit l’activité des abeilles à l’extérieur de la ruche et la disponibilité en ressources alimentaires. Cependant, la saison n’est pas terminée et les grandes miellées d’été sont sur le point de commencer :   – Le tilleul : Les tilleuls commencent tout juste à fleurir. Leur floraison est rapide, mais avec une météo clémente, ils peuvent fournir une importante quantité de nectar et donc de miel. Son aspect crémeux et son arrière-goût mentholé rendent ce miel délicieux. – La ronce : La floraison de la ronce est plus longue, s’étendant de juin à août. La ronce offre aux abeilles une grande quantité de nectar et de pollen, reconnaissable à sa couleur vert pâle. Bien que cette plante ne soit pas toujours appréciée, elle joue un rôle crucial dans notre écosystème, fournissant nourriture et abri à de nombreuses espèces. – Le châtaignier : Les prémices des chatons de châtaignier sont déjà visibles. Ils devraient fleurir d’ici quelques jours / semaines. Les abeilles sont attirées par les châtaigniers en raison des grandes quantités de nectar et de pollen présents dans les fleurs mâles de cette plante mellifère. Le miel de châtaignier est de couleur brune, saveur boisée, corsée, avec un arrière-goût un peu amer. Il se cristallise lentement et grossièrement.   En espérant que la météo des prochaines semaines soit favorable, pour nous et nos petites abeilles.   Photo 1 : Fleurs de tilleul Photo 2 : Fleurs de ronce Photo 3 : Prémisses des chatons de châtaignier Photo 4 : Tableau des couleurs des différents pollens

À l’exception de quelques journées ensoleillées, nous faisons face à un début d’année marqué par la pluie et le vent. Cette météo rend le printemps particulièrement difficile pour nos abeilles, au point que de nombreux départements français sont en alerte « famine apicole ».   Le manque de journées ensoleillées réduit les périodes d’activité des abeilles. Les vents réguliers et les fortes pluies lessivent les fleurs des arbres qui sont habituellement une source de nourriture importante au printemps. Cette période de disette est telle que de nombreux apiculteurs doivent nourrir leurs colonies pour les aider à survivre en cette période difficile.   Lors de ma dernière visite, j’ai donc vérifié si les ressources en miel de vos abeilles étaient suffisantes, et heureusement, c’est le cas ! Néanmoins nous n'avons pas la reine ! Je repasserai demain matin vérifier si votre colonie a toujours une reine.   Celles-ci attendent avec impatience le retour du soleil pour pouvoir profiter des floraisons à venir, telles que l’acacia, le tilleul, la ronce, …, sources importantes en nectar et en pollen (cf. photos).

CR AVRIL

En cette mi-avril, vous avez certainement remarqué l'odeur prononcée de choux dans les champs ! Ce parfum caractéristique est celui du colza, annonçant le début de sa sécrétion de nectar. Celle-ci lui permet d'attirer les insectes pollinisateurs et favorise la fécondation de ses fleurs.   Le colza, grâce à son abondance, fournit pollen et nectar en quantités considérables aux insectes pollinisateurs. Sa floraison débute tôt, généralement en avril, s'étalant sur plusieurs semaines. Cette année, elle est même en avance de quelques semaines !   Au cours des dix dernières années, la culture du colza a augmenté de près de 40 % à l'échelle mondiale, principalement en raison de son utilisation dans la production de biodiesel, destinant ainsi près de 60 % du colza européen à cette fin.   Le colza produit tellement de nectar que certains apiculteurs choisissent d'en faire une récolte à part entière. Cependant, chez BeeCity, nous préférons ne pas le récolter, optant pour une seule récolte annuelle fin juillet. Cette décision est prise en prévision de la "trouée de miellée", une période d'environ quinze jours vers la mi-mai, caractérisée par une faible disponibilité de ressources alimentaires pour les abeilles, située entre deux importantes périodes de floraison : le printemps et l'été.   Le saviez-vous ? Le miel de colza est connu pour sa clarté et sa tendance à cristalliser rapidement en raison de sa concentration élevée en glucose.

Visite du 05/04 : Votre colonie se porte très bien, vos abeilles ont même déjà commencé à remplir la hausse de miel ! Avec l’augmentation des températures à venir, elles pourront profiter pleinement des fleurs du printemps tel que le colza (cf.photo)

25/03 chateau

Visite du 25/03/24 :
Ces derniers jours, le temps ensoleillé et les premières chaleurs ont entraîné la floraison de nombreuses plantes. Vos abeilles ont donc récolté beaucoup de nectar, ce qui a favorisé le développement de votre colonie. J’ai ainsi ouvert la partie supérieure de votre ruche pour que vos abeilles puissent commencer à stocker du miel.
Les causes du déclin des polinisateurs :
A l’heure actuelle, une espèce d’abeilles et de papillons sur dix est menacée d’extinction en Europe. D’un point de vue planétaire, ceci est même conceptualisé comme le Syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles.
Quelles en sont véritablement les causes ?
 Le changement d’affectation des sols pour l’agriculture ou l’urbanisation (artificialisation ds sols) qui entraînent la perte et la dégradation des habitats naturels
 L’agriculture intensive qui contribue à l’uniformisation des paysages et à la disparition de la diversité de la flore, ce qui réduit les ressources en nourriture et en nidification de ces espèces
– Les pesticides et autres polluants qui affecte les pollinisateurs tant directement (insecticides et fongicides) qu’indirectement (herbicides)
– Les espèces exotiques envahissantes telles que le frelon à pattes jaunes (Vespa velutina) et les maladies (la Varrose issue du Varroa, la Loque, etc…), particulièrement dangereuses pour les abeilles domestiques.
– Le changement climatique qui entraîne une hausse des températures ainsi que des phénomènes météorologiques extrêmes créent un climat de stress pour les colonies Le saviez vous ? : les campagnes de piégeage des reines frelons (les fondatrices) ont débutés. Ne pas hésitez à se renseigner auprès de vos mairies ou sur le site de l’UNAF apiculture. Petite victoire ! Nous avons capturé nos premières reines de frelons à pattes jaunes (asiatique) sur votre site !

Visite du 28/02

Visite du 28/02/2024 : Votre colonie se porte très bien ! 
À l’approche du printemps (et oui déjà :-), vos abeilles ont déjà commencé leurs premières récoltes de pollen et de nectar, attirées notamment par les floraisons de noisetier, de mimosa d’hiver, de bruyère et des Prunus.
Votre colonie retrouve progressivement son dynamisme. La reine reprend doucement sa ponte, et les premiers cadres de couvain sont déjà observables !
Mais en fait, qui est la reine ? Quel est son rôle ?
Le rôle principal de la reine est la ponte. Sur une durée de vie moyenne de 5 ans, elle aura pondu plus d’un million d’œufs. Alimentée de gelée royale par les abeilles ouvrières (nourrices), la reine présente un profil distinctif :
– Plus grande qu’une abeille ouvrière (20 mm comparés aux 15 mm de l’abeille ouvrière).
– Son abdomen est plus gros et moins poilu.
– Son dard est lisse, tandis que celui des ouvrières est muni de crochets.
– Elle a la capacité de pondre et de déterminer le sexe des œufs qu’elle produit.
– La reine s’accouple en plein vol avec les faux-bourdons
– Elle communique avec l’ensemble de la colonie grâce à des signaux chimiques, appelés des phéromones. Elle dicte d’ailleurs « l’humeur et le caractère » de la colonie !
– Les apiculteurs marquent les reines pour suivre leur âge et les identifier plus facilement (voir photo).
– En hiver, la reine cesse pratiquement de pondre et se regroupe avec le reste de la colonie pour survivre au froid.
Le saviez-vous ?    La reine chante ! Quelques instants après sa naissance, elle émet un chant pour annoncer sa présence à la colonie.

Visite de décembre

Votre ruche se porte bien et est prête à affronter l’hiver !   Les petits gestes à faire en hiver pour aider les oiseaux de jardins : En hiver, les températures froides et la rareté des ressources alimentaires compliquent la recherche de nourriture pour les oiseaux sauvages. Offrir de la nourriture dans des mangeoires peut être une manière de les soutenir pendant cette période difficile, leur offrant un coup de pouce pour traverser l’hiver. De plus, le nourrissage nous permet de contempler la vie sauvage, de créer du lien avec la nature. Cependant, cette pratique doit être effectuée de manière responsable. Sélectionner des aliments adaptés à leur régime alimentaire, tels que des graines (comme les graines de tournesol, les noix, les cacahuètes non salées, selon les recommandations du Muséum national d’Histoire naturelle), est essentiel pour leur bien-être. De plus, maintenir la propreté des mangeoires et des zones environnantes est important pour éviter la propagation de maladies. Il est important de noter que le nourrissage ne doit pas se substituer à leurs compétences naturelles pour chercher de la nourriture. Par conséquent, selon les conseils de la LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux), il est recommandé de nourrir les oiseaux uniquement lors de périodes de froid prolongé, généralement de mi-novembre à fin mars. Contrairement à la nourriture, l’eau est une ressource vitale et bénéfique tout au long de l’année. Elle est précieuse aussi bien pendant les périodes de fortes chaleurs estivales que lors des gelées hivernales, où les oiseaux peuvent rencontrer des difficultés à trouver de l’eau. Avoir une coupelle d’eau à température ambiante et la remplir régulièrement pendant les périodes de gel est donc un geste très utile pour soutenir ces oiseaux.   Je vous souhaite de joyeuses fêtes de fin d’année et nous nous retrouverons pour l’ouverture du printemps ! ️

Retour de votre colonie

Courant octobre, nous avions pris la décision de déplacer votre colonie sur un autre site car la pression des frelons était devenue trop forte. Nous sommes donc heureux de pouvoir réintégrer votre ruche après cette période critique. Les abeilles sont plutôt en forme. Elles ont même profité des éclaircies de l’après-midi pour sortir rapidement butiner. Elles vont donc pouvoir hiverner désormais en toute sécurité

Visite du 12/10/23

Vous avez sûrement vu des frelons asiatiques tourner autour de votre ruche. Qui est-il ? Arrivé en France en 2004, il s’est développé très rapidement sur l’ensemble du territoire français. Il a été classé comme danger sanitaire pour l’abeille domestique et comme espèce exotique envahissante. Il se nourrit de toute sorte d’insectes et particulièrement d’abeilles domestiques (facilité, disponibilité). Il n’est pas agressif vis-à-vis de l’homme si on ne le dérange pas. Quels risques pour les ruches ?  En cas de forte pression des frelons, le fonctionnement de la ruche peut se trouver paralysé. Cela provoque un stress et la baisse de l’activité de butinage.  Dans de rares cas, les colonies faibles disparaissent. Quelles solutions aujourd’hui ? Il n’existe pas encore de solution miracle.  Le piégeage : restons vigilant, car certains pièges vont capturer des insectes non ciblés et en quantité bien supérieure aux frelons asiatiques.  La destruction des nids : le repérage reste très difficile et la destruction doit être réalisée par un professionnel.  Le maintien d’une bonne population d’abeilles dans la ruche est la meilleure défense. Déplacer la ruche sur un site où la pression du frelon asiatique est moins importante.  C'est la raison pour laquelle nous avons opté pour le déplacement temporaire de votre ruche, afin de minimiser la pression exercée. Mais pas d'inquiétude 🙂 , votre ruche sera de retour d'ici un mois, ce délai coïncidant avec le moment où les frelons quittent leur nid pour s'enterrer et passer l'hiver !

Visite de ruche 08/09

Votre colonie se porte à merveille. la reine a réduit leur nombre à 30 000 au lieu de 80 000 en haute saison pour passer l'automne et l'hiver avec assez de réserve. Nous avons installé des muselières anti-frelons pour aider au mieux les abeilles à se défendre contre le frelon asiatique. C’est l’heure pour nous de la mise en pot de votre miel.   Les pots seront livrés dans la foulée.

Thème du jour: l’eau

A l’approche de l'été, l'eau devient une ressource essentielle pour la faune sauvage, et notamment nos précieux pollinisateurs. Pour une colonie d’abeilles, les apports en eau par les butineuses sont d’environ 10 litres par an.   Il est donc très utile de leurs fournir un point d'eau dans nos jardins ou sur nos balcons.   Pour cela, vous pouvez utiliser des récipients peu profonds tels que des soucoupes de pots de fleurs, des couvercles retournés ou des abreuvoirs en résine. Placez quelques pierres partiellement immergées sur les bords ou le fond de l'abreuvoir pour permettre aux insectes de sortir de l'eau et aux oiseaux d'avoir pied et éviter la noyade.   Assurez vous de placer ces points d'eau dans un endroit dégagé et sécurisé, loin des prédateurs (évitez la proximité de buissons, murets ou de branches basses qui pourraient rendre les oiseaux vulnérables).   Il est également important de renouveler l'eau quotidiennement et de maintenir un récipient propre pour limiter le risque de propagation de maladies.   Offrir un point d'eau dans votre jardin réserve de nombreuses surprises. Vous serez étonné de voir les pollinisateurs faire une pause pour s'hydrater, les oiseaux se nettoyer en prenant un bain et les hérissons venir s'abreuver après la tombée de la nuit.   Bonnes observations   Source : https://www.lpo.fr/   Photo 1 : Moineaux domestiques   Photo 2 : Abeilles domestiques

Visite de ruche thème :”trou de miellé”

Après la période d'essaimage, survient ce que l'on appelle le "trou de miellé" en mai. C'est une période qui peut s'étendre de fin mai à début juillet, pendant laquelle les ressources alimentaires deviennent donc plus rares pour nos abeilles. De nombreuses plantes ont terminé leur période de floraison et la production de nectar peut être réduite . C'est une période de transition entre les floraisons printanières et estivales. Il arrive fréquemment que la colonie se nourrisse des réserves de miel stockées dans les hausses. Une fois cette période terminée, et le nectar redevenu abondant la colonie se reconsacre à faire des réserves de miel pour l’hiver en remplissant les hausses. Vous pouvez voir en dessous les différentes étapes du remplissage de hausse. 1- Les ouvrières cirières sont responsables de "gaufrer" les cadres de hausses pré-cirées. 2- Ensuite, les ouvrières magasinières remplissent les alvéoles avec du nectar. 3- Les ouvrières ventileuses interviennent ensuite pour ventiler les alvéoles, afin d'obtenir un taux d'humidité de 18% dans le miel. 4- Finalement, les ouvrières cirières viennent operculer les alvéoles pleines. Plus qu’à Récolter :-))

Visite de ruche

Votre ruche se porte très bien et nous continuons de lutter contre l'essaimage.  

Visite de ruche

  En cette fin d'avril, certaines plantes sont déjà en fleurs, telles que les saules, les merisiers (Prunus avium) et bien d'autres encore, tandis que d'autres commencent tout juste leur floraison, comme les marronniers (Aesculus).   Les fleurs de marronnier ont une floraison spectaculaire, car elles changent de couleur une fois pollinisées. Les taches jaunes sur les pétales se transforment en rouge pour indiquer aux insectes butineurs qu'il est inutile de visiter la fleur car elle n'offre plus de nectar.   De plus, les marronniers sont très utiles pour les abeilles, car ils produisent du pollen en grande quantité, ce qui en fait une plante très intéressante d'un point de vue apicole. Les abeilles et les bourdons sont les principaux pollinisateurs des marronniers, ce qui met en évidence la relation étroite entre les insectes et la flore de notre environnement.

Visite de ruche

Votre nouvelle ruche se porte très bien et continue de remplir la hausse. Heureusement pour nous il n'y a pas encore de frelons.
Partager

Prêt à passer
à l’action ?

Contactez dès maintenant votre responsable BEECITY local pour découvrir des solutions de biodiversité adaptées à votre région et à vos besoins !

Contacter un responsable local